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Date(s)
Turquie 2002 | vostf | 110’ | c | De : Nuri Bilge Ceylan | Avec : Muzaffer Özdemir,Mehmet Emin Toprak, Zuhal Gencer
> Grand Prix du Jury, Prix du Meilleur acteur (Özdemir, Toprak), Festival de Cannes 2003
Un photographe est persuadé que l'écart entre sa vie et ses idéaux est en train de grandir. Il se retrouve obligé d'accueillir une jeune personne de sa famille, qui a quitté son village pour trouver du travail sur un bateau, dans le but de partir à l'étranger…
« …l’inquiétante richesse de la durée et l’irrésistible poésie de la langueur. D’une lenteur visiblement héritée du cinéma de Tarkovski, dont Nuri Bilge Ceylan n’hésite pas à citer l’œuvre,» (Voir)
« Progressivement, Uzak dévoile sa densité existentielle. La solitude intérieure, la douleur de l'exil, le sentiment inexorable de perte, les relations amoureuses qui s'effilochent, l'incommunicabilité, le film traite ses ‘grands’ thèmes avec une économie de moyens dont seuls sont capables les cinéastes génialement elliptiques. » (Olivier De Bruyn, Première)
« …le brio de sa mise en scène, à la fois précise et feutrée, par son goût du détail insolite, traqué avec une ironie discrète. Un film triste qui rend heureux, une œuvre au désespoir radieux, joyeusement communicatif. » (Aurélien Ferenczi, Télérama).
« Sa beauté contemplative, parfois insolite (Istanbul sous la neige) se place en écho sensitif aux états d'âme, et nous trouble, lentement, profondément. » (Aden)
« Uzak déstructure l'espace et mine le temps lui-même : comme si le point de rencontre des personnages n'était que le fruit d'un certain angle de vue. » (Cahiers du Cinéma)
> Grand Prix du Jury, Prix du Meilleur acteur (Özdemir, Toprak), Festival de Cannes 2003
Un photographe est persuadé que l'écart entre sa vie et ses idéaux est en train de grandir. Il se retrouve obligé d'accueillir une jeune personne de sa famille, qui a quitté son village pour trouver du travail sur un bateau, dans le but de partir à l'étranger…
« …l’inquiétante richesse de la durée et l’irrésistible poésie de la langueur. D’une lenteur visiblement héritée du cinéma de Tarkovski, dont Nuri Bilge Ceylan n’hésite pas à citer l’œuvre,» (Voir)
« Progressivement, Uzak dévoile sa densité existentielle. La solitude intérieure, la douleur de l'exil, le sentiment inexorable de perte, les relations amoureuses qui s'effilochent, l'incommunicabilité, le film traite ses ‘grands’ thèmes avec une économie de moyens dont seuls sont capables les cinéastes génialement elliptiques. » (Olivier De Bruyn, Première)
« …le brio de sa mise en scène, à la fois précise et feutrée, par son goût du détail insolite, traqué avec une ironie discrète. Un film triste qui rend heureux, une œuvre au désespoir radieux, joyeusement communicatif. » (Aurélien Ferenczi, Télérama).
« Sa beauté contemplative, parfois insolite (Istanbul sous la neige) se place en écho sensitif aux états d'âme, et nous trouble, lentement, profondément. » (Aden)
« Uzak déstructure l'espace et mine le temps lui-même : comme si le point de rencontre des personnages n'était que le fruit d'un certain angle de vue. » (Cahiers du Cinéma)
Média
Lieu
Cinémathèque de la Ville de Luxembourg
17 PLACE DU THEATRE
2613 LUXEMBOURG
Luxembourg
Prix:
- Tarif plein :3.70 €
- Tarif réduit :2.40 €
- Kulturpass :1.50 €
Information de contact pour cet événement
Téléphone:
E-mail:
Internet:
Organisateur
Cinémathèque de la Ville de Luxembourg
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Uzak (Poetry in Motion)
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